dimanche 7 octobre 2012

FIGEAC, le FRONT des luttes, 4 octobre 2012.

Quand la vallée mécanique le dialogue social !.

Soudain, la police aux « écailles » s’évapore. Le ministre Montebourg  se serait fâché de cette présence.
Mairie, séquence télé, « bain ? » de  manif.  ... pas d’incidents, les 300 participants au rassemblement ne sont pas des voyous !

mercredi 3 octobre 2012

CAHORS et FIGEAC, 1er octobre 2012.

A la veille de l’examen au parlement français du TSCG (Traité européen sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance) et sa déclinaison en loi organique, deux délégations « des forces ayant su rassembler le 30 septembre à Paris » (dont le Front de Gauche !) se rendaient respectivement à la rencontre des députés du LOT.
A Figeac, la délégation était reçue par la députée suppléante.

lundi 1 octobre 2012

PARIS, MANIF NON au TRAITE EU, 30 sept. 2012.

Incurable cécité des « chiens de garde » à couvrir l’actualité politique du 30 septembre 2012 à Paris.
Interviews sélectifs, mascarade des chiffres, omissions lourdes et abusives... tous les ingrédients utiles à la discorde et à la zizanie sont bien entretenus par les médias dominants. A qui profite ce traitement de l’information ?


CAHORS, BOURSE du TRAVAIL, 28 sept. 2012.

Affluence inhabituelle à la Bourse du travail. Belle réussite du débat public contre le TSCG (Traité européen sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance). Francis WURTZ, ancien député PCF au parlement européen, avec éloquence, pédagogie et simplicité a expliqué les orientations de guidance politique de ce traité européen préparé par SARKOZY/MERKEL  et maintenu par HOLLANDE.  Francis WURTZ a mis en garde des conséquences et des dangers de ce traité.  Les réponses aux nombreuses questions ont clarifié encore ses propos. Un vrai encouragement à se rendre à Paris 48 heures plus tard

mardi 25 septembre 2012

CAHORS, ASSEMBLEE CITOYENNE 11 sept. 2012.

Mise en place du comité local du FRONT de GAUCHE de CAHORS et des environs.
Pas facile, sur l’intervalle de temps d’une réunion, de rendre compte de la participation à 16 ateliers aux « ESTIVALES CITOYENNES du FRONT de GAUCHE » à GRENOBLE.  Une brochure composée de la trace écrite de douze comptes-rendus était remise aux participants à l’Assemblée Citoyenne. Parti pris était  adopté en commun de dégager le maximum du temps de réunion à la restitution,  à l’analyse et au transfert des travaux de l’atelier consacrés à une réunion du Conseil National du FRONT de GAUCHE.   Cet atelier, très convoité,  avait en effet pour objectif de  discuter du fonctionnement, de l’évolution, de la composition, de la participation des membres du  Conseil National aux décisions politiques du FRONT de GAUCHE.
Une certitude : « Le FRONT de GAUCHE continue ! ».

GRENOBLE : ESTIVALES du FRONT de GAUCHE, 25 et 26 août 2012.

Vendredi soir 24 août. L’immensité du hall de l’université désenveloppe l’écho de l’espace d’accueil des très nombreux  délégués déjà sur place.  Formalités,  fourmillement  autour des  listes de présence ... clefs, tickets, pochettes programme ... gag du « jeu de piste » obligé par la photo réduction trop poussée d’un plan du campus !

Samedi 25 août, dimanche 26 août. Notre petite délégation s’organise. Nous couvrirons 16 ateliers et deux meetings.
Ateliers : « Quelle alternative à l’austérité ? Quelles politiques économiques face à la crise ? », « La place de l’écologie dans la reconversion industrielle », « Régie publique de l’eau, quelles politiques régionales, départementales et locales », « Un pole public financier pour mobiliser le crédit en faveur de l’emploi », « Boucliers anti-missiles, déploiement vers l’Asie, il faut sortir de l’OTAN », « La gauche à l’heure de la nouvelle ambition agricole», « La gratuité des services publics », « Monnaie, banques et rôle de la BCE », « Pour sortir de la crise, quelle ambition sociale et culturelle », « Quelle loi d’orientation pour construire l’école de l’égalité », « Changer le travail, nouveaux droits pour les salariés », « Face à la crise de la presse, comment assurer le pluralisme », « Quelle défense pour la VI ° république », « Comment financer le logement social ? », « Le FdG dans les luttes écologiques, l’exemple des gaz de schiste »,
« Conseil National du FdG pour discuter de son fonctionnement, de son évolution, de sa composition, de son association aux décisions ».  
                                                                       
Grand amphi, archi plein !

GINDOU : ASSEMBLEE CITOYENNE, 20 août 2012.

Pouvions-nous imaginer la présence à GINDOU du cinéaste Robert GUEDIGUIAN, personnalité connue pour son soutien au FRONT de GAUCHE, sans solliciter sa participation à notre assemblée citoyenne.

Plein air et canicule ... 12h30 ! La fraîcheur et le délice des mets du buffet concocté par Joce et Jean Pierre encourageaient les participants à résister à l’accablante chaleur de ce lundi d’été.

CAHORS : ASSEMBLEE CITOYENNE, 16 août 2012.


Fin d’une  « trêve » ambiguë de calme politique au sein du Front de Gauche. Débat ouvert, riche, encourageant. Les responsables politiques PC/PG formulent, sans réserve, la nécessité de poursuivre et de renforcer l’originalité de la démarche Front de Gauche.
Le principe d’une participation de 6 militants (2PC, 2PG, 2 non encartés) aux « Estivales citoyennes du Front de Gauche » les 25 et 26 août à Grenoble a été retenu ... la question financière demeurant compliquée. La  prochaine assemblée citoyenne est prévue à GINDOU le 20 août en présence de Robert GUEDIGUIAN et de  Ariane ASCARIDE.
JLC

lundi 18 juin 2012

CAHORS, 12 juin 2012.

Réunion citoyenne des composantes du Front de Gauche.

Points  à l'ordre du jour : 
  • analyse politique des résultats  des élections législatives (dans le LOT  et au plan national).
  • position du Front de gauche 46 pour le second tour de la législative.
  • mise en place, fonctionnement, perspectives et devenir des assemblées citoyennes.

LIMOGNE en QUERCY, 13 juin 2012.

Assemblée citoyenne du 13 JUIN 2012.
Dans la deuxième  circonscription, pas de second tour des élections législatives, Jean Launay (PS) a été élu dès le premier tour.
Bernadette BALOCHE, candidate FdG a obtenu globalement 7,89% des suffrages. Plus localement, Bernadette obtient 16,42% des suffrages à LIMOGNE, de très bons résultats dans certains villages (31,21% à BEAUREGARD, 29,3% à MARCILLAC-sur-Célé, 19,74% à LUGAGNAC).  Les participants constatent que les médias et la droite tentent de diviser le Front de Gauche en opposant PC et PG, notamment concernant les accords avant élections et l’éventuelle participation du PC au gouvernement (à noter que la totalité des participants sont contre une entrée au gouvernement, compte-tenu de l’attitude hégémonique du PS et de sérieuses divergences entre les programmes PS et Front de Gauche). 
Autres thèmes abordés : abstention, rapport avec le député élu (suivi de l’action, analyse ...), intérêt de certains documents disponibles sur internet  (fiches du collectif Roosevelt 2012,  « Luttons contre les idées fausses » ATD-Quart-Monde), opportunité de recréer des situations de meetings, discussions autour de thèmes (dégradation des services public en milieu rural, emploi des saisonniers étrangers, accord Hollande/bouclier antimissiles ... avenir des Assemblées Citoyennes).
Prochaine Assemblée Citoyenne (de rentrée),  mercredi 19 Septembre, (lieu à préciser),  autour du premier bilan de l’action gouvernementale après les trois premiers mois du mandat.

mercredi 13 juin 2012

CAHORS, bourse du travail, 10 juin 2012.

Bourse du Travail de Cahors,  moment chaleureux et convivial au soir du premier tour des élections législatives.  
« Fermeture du ban » de la très longue campagne électorale 2012.
Une place sur le podium pour les deux candidats du FRONT de GAUCHE.
BRAVO SERGE, BRAVO VIRGINIE.


Un coup de chapeau aux militantes et militants du PC, du PG et des collectifs, sans oublier les toniques afficheurs.

jeudi 7 juin 2012

CAHORS, bourse du travail, 6 juin 2012.

Bourse du Travail : accueil crèpes – café. Une ciquantaine de présents. Public militant plutôt que « nouvelles têtes »  en quête d’informations sur le programme des candidats du Front de Gauche. Cette observation interroge sur l'efficacité du tractage (massif) et des diffusions par voie de presse ou réseaux de l’annonce des réunions publiques.
Virginie et Serge expliquent leurs engagements respectifs ; sourd, pleine et entière, leur détermination à être présents  au deuxième tour.
Les candidats déroulent leur programme : après présidentielle, enjeux des législatives, logement, transports, éducation, accès à la santé, dépendance et aide à domicile, gaz de shiste, prison, tâches du bilan de la députée sortante ... Parole à la salle : retours spécifiques, compléments d’info.
Une belle réunion militante.

dimanche 3 juin 2012

GOUJOUNAC, 28 mai 2012.

« Halle au peuple » : option inédite en plein cœur de village bourian ! Le collectif FRONT de GAUCHE de GOUJOUNAC rivalisait d’imagination. Passants, automobilistes médusés : la halle étiquetée aux couleurs du FRONT de GAUCHE, grandiose ! Même les bancs de l’église voisine participaient à la transformation de l’espace public en agora. En cette réunion citoyenne en plein air, Serge LAYBROS, candidat aux élections législatives, déroulait les grandes lignes de son programme. Interrogations, échanges : problématique des territoires ruraux, école, logement, santé, services publics ... inégalité de l’accès des enfants à la culture ... L’angélus, puissant, sonnait les cloches aux points noirs du bilan de la députée sortante et, plus largement, aux pratiques démocratiques délégataires. Le constat articulait logiquement la discussion sur le devenir des assemblées citoyennes du FRONT de GAUCHE ... « auberges espagnoles » après les législatives ?
Deux moments forts ponctuaient ces échanges. Le premier, animé par Jean Pierre, véritable scoop de transmission orale de l’histoire locale : l’accueil, à GOUJOUNAC, dans l’été 1936, de Waldeck Rochet, député du PCF de Colombes Nanterre, par 3000 communistes lotois ! Le second, plus contemporain, exprimé par Ginette qui décrit avec passion, ferveur et enthousiasme les objectifs et le programme « léché » de GOUJOUN’ART.
Hip, hip, hip oun’art ! ... Tchin, tchin, une halle au peuple remplie de fraternité.
JLC

mercredi 30 mai 2012

L’Humain d’abord … pas la prison d’abord !

Les récents propos de Marc GASTAL à mon encontre m’obligent à réagir sur le projet de prison à SAUZET. J’ai fait preuve ces derniers mois d’une grande discrétion sur ce dossier, n‘écrivant rien, ne disant rien, mais prenant le temps de rencontrer les personnes concernées pour parfaire ma connaissance du dossier. Je suis donc surpris que l’on puisse commenter mes silences ! Parmi mes interlocuteurs, figure l’association « SAUZET environnement ». J’ai pu apprécier la qualité de son argumentation et elle m’a cordialement accueilli dans ses locaux. Elle est un des protagonistes de l’affaire et son point de vue a autant de valeur que celui des grands élus. J’ai noté de grandes contradictions chez les parlementaires de Gauche de ce département. Ils ont vigoureusement combattu la loi de programmation pour l’exécution des peines à l’Assemblée nationale comme au Sénat. Mais, sitôt redescendus dans le département, ils se sont fait les partisans les plus acharnés d’un projet qu’ils avaient pourtant vivement dénoncés ! Cela s’appelle du double langage. Comment peut-on être contre à Paris et pour à Cahors ? La loi « Mercier », adoptée en 2011, prévoit la construction de 20 000 places de prison supplémentaires. Le projet de SAUZET s’inscrit dans cette logique. C’est une logique absurde ! La position du Front de Gauche, par la voix de la Sénatrice communiste Nicole BORVO COHEN-SEAT, est claire : il faut abroger cette loi qui ne résout rien. C’est donc logiquement le point de vue que je défends dans ce combat électoral. Beaucoup d’élus s’interrogent sur la pertinence du projet même s’ils ne disent rien. Mon point de vue est une façon de briser l’omerta. Je l’assume même si cela déclenche les foudres de quelques uns. J’avoue être dubitatif lorsque je vois Dominique ORLIAC s’opposer à un texte législatif présenté par l’UMP il y a quelques mois puis se féliciter de la nomination de Mme TAUBIRA à la Justice en qui elle voit une alliée de poids dans le dossier de SAUZET. Comprenne qui pourra !
SL

mardi 29 mai 2012

NON à 54, % !

Il y a sept ans, le 29 mai 2005, notre peuple rejetait à 54,5 % le traité constitutionnel européen. Tous ceux qui composent aujourd’hui le Front de gauche étaient de ce combat. Après un examen approfondi du texte qui nous était proposé, nous estimions  en effet :
- qu’il ne démocratisait pas les institutions de l’Europe ;
- qu’il n’autorisait pas de véritables alternances politiques, puisqu’il les encadrait dans des contraintes telles qu’elles seraient condamnées à ne porter que sur l’accessoire ;
- qu’il ne permettait pas de rééquilibrer l’Europe dans un sens plus social, vue que toute harmonisation sociale par le haut était interdite dans le texte ;
- qu’il ne faisait aucunement émerger une Europe politique : l’élection d’un Président du Conseil, loin de donner un visage à l’Europe, allait encore accroître la complicité institutionnelle, puisqu’à ces côtés le président de la Commission européen et le président du pays membre qui présiderait l’UE pour six mois en vertu du système (maintenu) de la présidence tournante, devraient coexister dans l’usine à gaz que l’on nous vendait. Quant au ministre des Affaires étrangères, dont le poste était également créé, il nous semblait condamné à l’impuissance ;
- que loin de résister aux effets déstructurants de la mondialisation néolibérale, les dispositions économiques contenues dans le traité allaient les accélérer et traduisaient donc pour la gauche, qui les acceptait, un renoncement terrible.
En érigeant comme objectif de l’Union européenne, le principe de « concurrence libre et non faussée », le projet de Constitution européenne instituait une société de marché. Il ne manquait dans le texte aucun des dogmes de l’idéologie libérale : monétarisme, indépendance des institutions financières, ouverture des marchés, libre-échangisme, libéralisation à outrance, etc. Toutes les politiques qui avaient déjà généré un chômage massif, la précarisation des emplois, les délocalisations, la course au dumping fiscal, une répartition toujours plus inégalitaire des revenus du travail et du capital, ainsi que le démantèlement des services publics étaient non seulement reconduites mais gravées dans le marbre d’une « constitution ». Elles étaient même aggravées dans certains domaines, comme celui de la politique commerciale commune.
Fort de ce constat, les plus lucides d’entre nous prédisaient même (au printemps 2005 !) que l’ensemble de ces règles contraignantes conduirait l’Europe à l’impuissance en cas de crise économique grave. On voit ce qu’il en est aujourd’hui. Sur tous les points que j’ai cités, les faits nous ont donné raison.
Car malgré notre vote, malgré le « non » des Néerlandais, l’ensemble des dispositions que nous critiquions ont été mises en œuvre. Sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy, un nouveau traité, le traité de Lisbonne, en tous points semblables à celui que nous avions rejeté, a été rédigé et ratifié, sans référendum cette fois, grâce à la complicité active de très nombreux parlementaires socialistes, radicaux de gauche et Verts. Sans leur abstention (qui était la consigne de vote donnée par François Hollande, alors patron du PS) ou le vote « pour » de certains d’entre eux au congrès à Versailles, le 4 février 2008 (voir le détail du vote ici), le traité de Lisbonne n’aurait pas pu être adopté.
Alors que nous procédons au renouvellement de l’Assemblée nationale dans quelques jours, il est bon de se souvenir des députés qui ont ainsi bafoué le vote majoritaire des électeurs du 29 mai 2005. Le récent vote parlementaire sur la ratification du traité instituant un Mécanisme européen de stabilité (MES),  sur laquelle les parlementaires socialistes se sont platement abstenus, a rappelé que ce n’est pas sur eux qu’il faudra compter pour s’opposer au carcan austéritaire dans lequel  les marchés financiers veulent enfermer les Etats membre de l’Union européenne.
Pour cela aussi, il faut envoyer à l’Assemblée nationale un maximum de députés du Front de gauche. 
Nous sommes d’ailleurs les seuls à réclamer l’organisation d’un référendum sur le Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’union économique et monétaire (TSCG), appelé « traité Merkozy », dont la ratification nous condamnerait à l’austérité à vie. 
de la part de Bernard HUTIN.

dimanche 27 mai 2012

LIMOGNE en QUERCY, 22 mai 2012.

L’assemblée citoyenne réunie le mardi 22 Mai à Limogne avait pour thème « La dette Publique ».Après projection d’une vidéo, le débat s’est engagé entre une vingtaine de participants. Les thèmes suivants ont été abordés: historique de la dette, dette illégitime, dette légitime, création d’un secteur public bancaire, rôle des médias ... situation de la Grèce, moratoire et audit de la dette en Islande ...

La discussion s’est orientée ensuite autour de l’avenir du Front de Gauche dont la dynamique doit être maintenue et amplifiée. Faire vivre les assemblées citoyennes, comment augmenter le nombre de participants ?

Unanimité de la conclusion : nécessité d’élire de nombreux députés du Front de Gauche et d’amplifier le score de l’élection présidentielle.
DG

L'intégralité du compte rendu  accompagne, en pièce jointe,  l'un des  prochains mails d'information des sympathisants et militants du Front de Gauche de Cahors et des environs.

LE GOUT des RENCONTRES CITOYENNES

Le 22 mai Virginie LONG et Serge LAYBROS, candidats présentés par le Front de Gauche (FDG), aux législatives dans la première circonscription du Lot, étaient écoutés par les participants de la rencontre citoyenne organisée en soirée à Castelnau-Montratier par le FDG et enclins à répondre à leurs questions. De riches échanges s'instauraient deux heures durant.
"Nous avons pris goût à Castelnau-Montratier à organiser de telles rencontres citoyennes qui regroupent à chaque fois plusieurs dizaines de personnes. Nous avons la volonté de les renouveler régulièrement..." déclarait d'emblée Joan ESCOBAR, animateur de cette rencontre. Présent, Jean-Bernard SAHUC, maire de FLAUGNAC. Quant au Maire du chef-lieu, invité à prendre la parole, il accueillait les candidats par un salut républicain. A l’adresse de  Serge Laybros, plus personnellement, le premier magistrat brossait un éloge soutenu à « l’homme », à « l’élu engagé et opiniâtre, excellent orateur ...  au 2e adjoint au maire de Cahors chargé des affaires sociales» à qui il reconnaissait toutes les qualités « de candidat en phase avec le mandat de député ». Ainsi, dans une atmosphère détendue, propice à la réflexion, à la prise de parole comme à l'écoute, les échanges entre nombre de citoyens, se menaient-ils au diapason du programme des candidats décliné en relation avec les réalités du Lot et de « L'Humain d'abord ». Des thèmes étaient proposés pour les prochaines assemblées citoyennes: le travail, l'art et la culture... Du pain sur la planche.
JV/JLC

samedi 26 mai 2012

CCL : Collectif Campagne Législatives

Après une forte mobilisation de tous pour les présidentielles, le FDG poursuit sa course, surfe sur sa dynamique et continu à aller de l'avant . La démarche se veut constructive et rassembleuse de façon à porter nos deux candidats Serge LAYBROS et Virginie LONG aussi loin que possible ... vers la victoire ! Donc, pas de campagne "pédalo" mais bien la volonté affichée de gagner à nos idées un maximum de citoyens et de promouvoir "l'humain d'abord".
Une trentaine de militants rassemblés au soir du 18 mai pour officialiser la mise en place du Collectif de Campagne des Législatives de la 1ère circonscription du Lot.
Après une analyse politique collective des résultats de la Présidentielle sur les 17 cantons de la circonscription et la communication par Serge Laybros de son projet de « circulaire » (profession de foi), la discussion s'oriente sur les questions organisationnelles.
Il s'agit de répondre aux principaux défis posés :
o   occuper le terrain et assurer une présence sur tous les cantons (même en dehors de la présence des candidats)
o   promouvoir le programme FDG et le décliner en thématiques locales
o   maintenir, voir optimiser, la dynamique de la présidentielle
o   organiser un maillage des territoires (si possible pérenne)
o   maintenir la cohésion du FDG
o   rendre le FDG lisible et visible pour tous.
Chacun des participants a pu donner son avis, amener des réflexions politiques ou pratico-pratiques depuis sa place et sa connaissance du terrain.
Le CCL (Collectif de Campagne des Législatives) est pérennisé ; il se réunira tous les jeudis soirs à 18h au café l'Interlude. Il a pour tâche d'impulser et de coordonner l'ensemble de la démarche FDG sur la circonscription. Il est composé de militants PG-PC et de membres de la société civile ayant participé à la campagne pour les présidentielles dans le cadre des assemblées citoyennes. Le CCL se charge également d'organiser  la partie logistique ( confection de tract ...).
Un réseau de "correspondants" (même composition que le CCL) sera mis en place afin d'assurer le lien entre les militants dans chaque canton : passage d'informations, argumentaire de base sur le bilan de la députée sortante, tracts, journal de 4 pages ... participation aux actions déjà prévues, voire mise en place de nouvelles initiatives (assemblées citoyennes par ex).
Les adresses FDG seront activées de façon à réorienter les militants concernés vers les correspondants du collectif.
Le CCL charge Isabelle EYMES de coordonner l’ensemble, bien entendu sous son autorité.

lundi 21 mai 2012

A " FRONT " de TRACTS, 20 mai 2012

Serge Laybros à la rencontre de la population sur les marchés de Castelnau-Montratier et de Montcuq.
Le 20 mai, Serge LAYBROS, candidat du FRONT de GAUCHE aux législatives, était sur le marché de Castelnau-Montratier. Entouré de militants, il était accueilli salle d'exposition de la maison Jacob à la découverte de l'exposition des photographies de Nina Adler. Sur le marché, les militants invitaient à participer à la rencontre citoyenne ouverte à tous, ce mercredi 23 mai à 21 heures, salle de la mairie de CASTELNAU-MONTRATIER.
Serge LAYBROS confirmait sa participation et celle de Virginie LONG, sa suppléante. Serge LAYBROS gagnait ensuite le marché voisin de Montcuq dans la même démarche militante.

samedi 19 mai 2012

CAHORS, plénière 16 mai 2012.

Ce point d’étape entre l’élection présidentielle et les élections législatives consistait à clarifier les interrogations et  les attentes plus particulières  des militants associatifs, militants syndicaux, citoyens  et amis  du « TOUS ENSEMBLE » dans le FRONT de GAUCHE. 
Large tour d’horizon : des modalités de désignation des candidats et des suppléantes dans les deux circonscriptions du LOT à la mise en place d’une authentique expression FRONT de GAUCHE dans la très proche campagne électorale des législatives ... rien ne fut laissé de côté.
« opa » du PCF dans les deux circonscriptions ? Approche « monolithique » de la campagne des législatives ?
Quelle base, quel contenu de programme ? Quelle communication ? Quelles affiches ? Quels tracts ?
Assemblées citoyennes ou pas ?, avec ou sans la présence du candidat ou de sa suppléante ? Quelles autres démarches ?
Quel état d’esprit en amont de cette nouvelle campagne électorale ? Quelle position au deuxième tour ?
Un débat courageux, sincère, des échanges fermes et courtois, toujours respectueux des différences.
S. Laybros et les représentants des partis politiques PC et PG s’engagent  dans la  campagne électorale avec  la démarche FRONT de GAUCHE.
Seule cette démarche originale et ouverte - à élargir encore - permettra de retrouver, à minima, les électeurs de l’élection présidentielle.
 Les premiers tracts, bien labellisés FRONT de GAUCHE, reprennent l’intitulé et les points essentiels du programme « l’Humain d’abord ».
Naturellement vinrent alors les questions de « l’orga. ». Comment être visible,  comment articuler réunions publiques, réunions citoyennes, assemblées citoyennes, tractage, « boîtage » ... présence sur les (nombreux) marchés ... le mode d’appel à militantes et militants sera  sans nul doute à l’ordre du jour  du collectif FdG de la campagne législative  dans la première circonscription dont la création est prévue ce vendredi 18 mai à 17h30, café l’Interlude à Cahors.
Réponses aux attentes, analyse encourageante, climat de confiance retrouvé créaient les conditions du  pas de complexe,  pas de retenue, pas de « pédalo » ... « TOUS ENSEMBLE » sur le pont, « TOUS ENSEMBLE » : PC + PG + militants associatifs + militants syndicaux + citoyens  + amis  du « TOUS ENSEMBLE » dans le Front de Gauche, « ON NE LACHE RIEN ! ».
La « saucissonnade finale» et fraternelle était la bienvenue !!!

(voir suite)

CAHORS, plénière, 16 mai 2012 (suite)

(suite du précedent article)
En fin de réunion, « cerise sur le gâteau », G. Iragnes balayait les résultats départementaux du FRONT de GAUCHE au premier tour des élections présidentielles :
« Avec 16375 voix et ses 14,5%, avec moins d’exprimés qu’au premier tour de 2007, le FRONT de GAUCHE a mobilisé 14000 voix supplémentaires là où le PS et EELV en ont mobilisé 2000 supplémentaires ! ...le FdG s’installe comme la troisième force politique du LOT ...  6ème  département national pour le vote Mélenchon ... 5ème département national où le vote FdG devance le FN, 3ème en Midi Py ... le FRONT de GAUCHE a participé indiscutablement  à dégager SARKOSY ...  Sur l’ensemble du  département du LOT, les résultats du FRONT de GAUCHE sont homogènes (tous au dessus de 10%). Ils épousent la géographie électorale du PCF (pas encore de repères pour le PG). Là où les assemblées citoyennes se sont déployées les résultats sont remarquables ... ».
Un document complet a été élaboré; il est disponible auprès de la fédé du PCF : pcf46@wanadoo.fr

jeudi 3 mai 2012

CAHORS, le premier mai 2012

QUEL BEAU PREMIER MAI,
quel beau sursaut de classe,
quelle belle réponse idéologique au discours du « vrai travail » ...
quelle sens puissant avait le « drapeau rouge » ensoleillé des  600 magnifiques manifestant-e-s à CAHORS.  
« Haut les cœurs, ardents à la lutte, tous nous allons faire avancer une nouvelle fois le fanal de combat qui rend la France à son peuple ! ».

lundi 30 avril 2012

CAHORS, c'était le 18 avril.

Assemblée citoyenne :

« Quelle humanité voulons-nous être ?, un projet pour l’art, la culture et l’information ».

Isa. introduit l’assemblée. Le développement artistique et culturel est-il un objectif d’intérêt général ?, la culture est-elle moteur de transformation sociale ?, la culture est-elle un droit fondamental ?
Les premières interventions soulèvent la place et la situation de l’éducation artistique, plus généralement des arts plastiques à l’école, au collège et au lycée. Un exemple des conséquences de la « purge » des postes illustre la complexité d’intervention d’une seule enseignante sur trois collèges ruraux. Pour ne pas réduire la culture à la seule question de l’art, rappel judicieux est fait de l’abandon pur et simple de l’histoire dans les classes scientifiques.
 Unanimité dans la salle : l’école, avec un grand E, demeure le lieu de correction des inégalités d’accès à la culture.
Avec les nouvelles technologies de l’information, l’accès à la culture n’a jamais été aussi simple. Toutefois, sans formation, sans clefs, sans code,  difficile de porter un regard critique, de développer son esprit critique. L’école s’affirme donc bien comme le lieu de l’accès aux clefs et aux codes de compréhension de l’art.
Transition « théorique », des interventions nuancent culture et production de culture, art et production de l’art, le donner envie, la production artistique.
Sans surprise, dans le contexte libéral, la culture n’échappe pas aux lois du marché. Standardisée, nivelée par le bas, la culture peine à la création artistique et à l’action culturelle, avec la conséquence de citoyens transformés en consommateurs. Passée en force, « TINA (There Is No Alternative)» oblige, l’économie s’impose à tous comme élément constant de l’information et des discussions populaires, le « parler fric » ne laisse pas de place au « parler culture ».
Le propos s’engage alors sur l’éducation populaire, les pratiques amateurs. La création existe. La question importante du temps disponible aux loisirs et aux pratiques culturelles, pose, d’un double point de vue, personnel ou citoyen, le statut du bénévole dans la vie associative. Temps de travail, temps culturel : quel « ratio » ?
Travail, lieu de travail, l’art est présent dans les entreprises. L’histoire sociale et le patrimoine ouvrier ne sont pas à détacher du patrimoine culturel.
Puis, la  gueulante d’un artiste : « quant au choix de la ville de Cahors d'augmenter la liste des œuvres de Henri Martin au Musée, car là s'illustre bien ce qu'on appelle un choix politique dans ce qu'il a de stratégique, avec pour résultat en définitive de tomber une fois de plus dans les pièges du monde touristique marchand. La "culture" comme dernier argument pour sauver la marchandise ! ».Un autre artiste présent : « Plutôt que d’aider les morts, mieux vaudrait aider les vivants ! ».
« L’Humain d’abord ». Pas de liberté et d’épanouissement sans émancipation culturelle. Changer les choses, viser à l’émancipation de tous et à l’épanouissement de chacun, faire de chacun l’acteur de son propre destin.
« L’Humain d’abord ». Urgent pour le Front de Gauche de redonner un nouveau souffle à la liberté d’expression,  à la création artistique, à l’action culturelle et aussi à la libre circulation des informations, à la production, à la diffusion des savoirs et leur appropriation par le plus grand nombre.
JLC

vendredi 27 avril 2012

Communiqué du FRONT de GAUCHE du LOT

Le premier tour de l'élection présidentielle a exprimé un rejet massif de la droite, de Nicolas Sarkozy et de sa politique, plaçant la gauche à son plus haut niveau depuis plus de vingt ans. Cette progression est pour l'essentiel à mettre au crédit du score remarquable du Front de Gauche, Jean-Luc Mélenchon se trouvant en 3ème position dans le Lot.
16 375 (14,37%) d'électrices et d'électeurs ont en effet décidé d'apporter leur soutien à un projet neuf qui place l'humain d'abord contre le capitalisme financier, un projet inspiré par la solidarité, l'appel au partage plutôt qu'à la haine et à la peur. C'est un événement porteur d'avenir.
Au-delà du score, le Front de Gauche s'impose comme une force nouvelle, populaire, jeune et porteuse d'espoir. C'est indispensable pour résister aux coups que les marchés entendent porter aux travailleurs de ce pays dès le lendemain de la séquence électorale.
Le Front de Gauche est aussi un point d'appui pour lutter contre le Front national et ses idées qui empoisonnent le débat. Ce défi, le Front de Gauche a été le seul à le relever pendant la campagne, front contre front. Nous allons continuer car à la veille du second tour, c'est aujourd'hui Nicolas Sarkozy qui porte le drapeau des idées d’extrême-droite.
Pour l'emporter dans cette présidentielle, Sarkozy est prêt à tout. Et d'abord à se faire le porte parole, non pas de la France solidaire, mais de la France qui aboie, d'une parodie de France, haineuse et aigrie.
Le Front de Gauche est, lui, du côté de la France qui relève la tête, de la France qui n'a pas peur d'affronter la finance internationale, d'une France qui, par la révolution citoyenne, reprend en main son destin.
Pour cela, il y a un préalable : en finir avec le président des riches sur les bases  du programme du Front de Gauche «  l'humain d'abord ».
Avec le Front de Gauche, nous vous appelons le 6 mai à chasser Nicolas Sarkozy du pouvoir en se servant du bulletin  François Hollande.
Mais avant, nous vous donnons rendez-vous mardi 1er mai aux manifestations organisées à :
Cahors : 10H00, bourse du travail; Figeac : 10H30, lycée Champollion; Biars sur Cère : 10H30, stade.
et pour des écoutes collectives le 4 mai,  date du dernier meeting de campagne du Front de Gauche.
PC et PG, pour le Front de Gauche du LOT

mercredi 25 avril 2012

AUZOLE près CAHORS, 22 avril 2012.

Après 20 h ..., ce dimanche soir du premier tour de l'élection présidentielle.
La grande mauvaise nouvelle plombait sérieusement l'ambiance de la centaine de personnes présentes.
Difficile de dissimuler la déception en dépit d'un score à deux chiffres ...  si longtemps espéré !
Analyses, tentatives de comprendre,consignes de vote pour le second tour, perspectives des législatives ... les discussions allaient "bon train" !